Jacques Nichet

« Si nous perdons le Pavillon Mazar, nous serons tous perdants, nous, les habitants de Toulouse, dépossédés d’un lieu de rencontre et de découverte, si vibrant et si chaleureux. Nous serons tous un peu plus faibles, un peu plus seuls, un peu plus pauvres… »

« Nous ne pourrons jamais rembourser Solange Oswald ni Joël Fesel son scénographe ni tous les acteurs de cette compagnie qui nous ont donné sans compter toute cette richesse faite de plaisir, d’intelligence, de sensibilité et de beauté. Quel expert pourrait estimer l’inestimable enrichissement collectif ? »

« Le scandale va-t-il se produire à Toulouse désormais ? Je crains le pire.

Mieux vaut dialoguer avant de commettre l’irréparable !

J’imagine qu’il est urgent d’ouvrir une table ronde placée sous l’autorité de la municipalité de Toulouse pour étudier calmement les tenants et les aboutissements de cette triste affaire qui risque de briser un groupe artistique des plus inventifs de notre Région et atteindre de plein fouet tant d’étudiants, de stagiaires, de jeunes acteurs du conservatoire et autres bénéficiaires de l’activité pédagogique constante du Groupe Merci. »