« Ce serait une perte importante pour les acteurs culturels de la ville de Toulouse, de la région et de plus loin encore tant sont nombreux celles et ceux qui sont venus en ce lieu se former, grâce aux chantiers nomades, participer à des spectacles et des expérimentations théâtrales ou simplement tisser des liens »
« Ma profonde déception pour le Groupe Merci se double de l’inquiétude que l’opération n’ait pour seul effet que d’évincer la troupe empêchant l’arrêt de la Cour d’appel de Toulouse du 21 janvier 2015 de recevoir son entière application. Je souhaite que l’Etat et la Ville ou la Métropole toulousaine puissent intercéder auprès des propriétaires du Pavillon Mazar pour que le droit au bail du Groupe Merci soit renouvelé. »