Cher public, chers amis
Nous voudrions répondre sans détour à cette question que si souvent vous nous posez :
« Où en êtes-vous avec Mazar ? »
En novembre prochain, le tribunal aura tranché et évalué le prix de notre rêve (*). Cette somme nous serait versée et il ne nous resterait donc qu’à partir.
Non, ce scénario ne nous convient pas !
Certes la Mairie de Toulouse, qui pourrait se porter acquéreuse de ce petit bijou, traine désespérément les pieds.
Certes, historiquement la ville de Toulouse a toujours loupé sa vitalité artistique en repoussant, depuis le 15eme siècle, les artistes qui auraient pu y poser leurs baluchons, y créer ou même y léguer leurs œuvres.
Certes, la période est triste mais nous ne nous laisserons pas intoxiquer par cette morosité politique ! Heureusement la DRAC, la Région Occitanie et le Conseil Départemental de Haute-Garonne sont eux très attentifs et soutiennent le Pavillon Mazar.
Alors nous nous acharnons à faire entendre à nos élus que ce modeste achat (**) serait certainement une façon d’endiguer cette longue et triste liste, cette morne tradition Toulousaine de négligence aux arts et à leurs serviteurs.
A suivre…
Le Groupe Merci pour le Pavillon Mazar
(*) Les si poétiques indemnités d’éviction.
(**) Le prix d’un appartement en centre ville.